Du collage pour un projet d’édition unique

Lilia et Océane ont combiné les deux textes en un seul livre, conçu pour une lecture à double sens. Jouant sur les espaces négatifs et un contraste entre pages noires et blanches, elles ont exploré les nuances d’opposition et de dualité des récits. Leur approche graphique, inspirée des fanzines, met en valeur la diversité culturelle et l’humanité des personnages. Avec une palette monochrome et des touches de bleu, rouge et jaune, elles ont intégré des éléments comme des Polaroids et une police de machine à écrire pour un rendu intime et immersif.

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Léni et Maylane ont choisi de lier les récits à un immeuble iconique de Grenoble, greffé par l’artiste Léon KEER. Le bâtiment devient un point central dans leurs illustrations, où chaque photographie, prise sous différents angles, symbolise un moment clé des histoires. Leur approche se distingue par l’utilisation de pixels rouges dans les visuels, renforçant le lien entre l’architecture et les émotions des récits.

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Inspirées par Robert DE MASSIN, Manon et Camille ont créé une mise en page qui fait écho à l’essence même du texte original. Leurs illustrations, telles des « collages dans un collage », capturent l’éphémère grâce à l’utilisation de papier journal et d’aplats de couleurs vives comme le jaune et le bleu. Elles ont également différencié visuellement les deux récits : dans Pas de Code, le personnage principal apparaît en photo, tandis que dans Un Code, les personnages se matérialisent sous forme de découpes de papier.

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Le livre à double sens de lecture de Matéo et Nelson se distingue par une esthétique bichromatique et une mise en page minimaliste. Chaque récit est représenté par une couleur prédominante, puis une illustration finale où les deux teintes fusionnent. Avec un format carré, les deux étudiants ont cherché à faire transparaître une forme de simplicité tout en transmettant l’atmosphère oppressante et poétique des histoires.

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Les illustrations en noir et blanc sombres et angoissantes de Noémie et Romane sont éclairées par un unique carré de couleur. Ce détail invite le lecteur à réfléchir sur les choix de vie dans un futur incertain. Une approche subtile qui capte l’attention et souligne la problématique centrale des récits.

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